(cette page me concernant est un acte de transparence destiné à éviter ou réduire vos doutes éventuels pour vous mettre en confiance (et rien d’autre(s)))
Fille d’agriculteurs, j’ai vécu mes 20 premières années en pleine nature en milieu rural. J’ai une sœur et un frère.
Sportive, j’ai été éducatrice entraîneuse, durant 15 ans environs, au sein de différentes associations sportives.
Mes études supérieures et activités professionnelles m’ont amené à vivre en milieu urbain (notamment autour de Paris durant 20 ans).
Dès mes études supérieures, je me suis intéressée à la finance.
Par hasard, j’ai débuté ma vie dite professionnelle dans le secteur des assurances. Pendant 20 ans, j’ai successivement travaillé pour différentes formes d’entreprises d’assurances (mutuelles, SA, institution de prévoyance) où j’ai cherché à comprendre les circuits financiers.
En 2007, un séjour au Cameroun a déclenché mon questionnement quant à la création de l’argent (c’est-à-dire la monnaie).
A cette époque-là, en tout cas, j’ai découvert un pays submergé par nos surproductions invendues ou non consommées (textile, médicaments, jouets, etc.) et nos biens d’occasion (voitures et autres).
Propos choc de mes interlocuteurs : « Nous aussi on a des idées mais on n’a pas d’argent ! ».
Entre 2014 et 2015, j’ai aussi acquis des expériences politiques en matière de programmes, représentation et élections politiques (notamment leur financement) ainsi que de parti politique.
J’ai eu, et continue, à faire face à différentes formes d’autorité et de pouvoir tant dans ma vie personnelle, dès l’enfance, que professionnelle (hiérarchies, réseaux, lobbies ou représentants d’intérêts, représentativité, héritage, transmission, etc.).
Mes premières années de vie professionnelle m’ont très vite amené à distinguer :
• contrat de travail (statut juridique)
• rémunération (salaires voire autres avantages)
• travail (tâche(s), activité(s)).
Qu’il soit rémunéré ou pas, avec ou sans statut juridique, la raison d’être du travail (tâche(s), activité(s)) m’interroge toujours autant, encore maintenant, quant à ses conséquences humaines (santé, vie).
J’ai compris que le statut juridique et ou l’organigramme et ou les valeurs affichées d’une organisation (association, mutuelle, société anonyme, élus, coopérative, etc.) n’empêche(nt) en rien, en l’absence de tout contrôle et ou de sanction, les femmes et les hommes de se comporter comme elles et ils l’entendent.
A titre professionnel et personnel, je suis responsable des conséquences de mes comportements ; les entreprises et autres organisations privées ou publiques sont animées par nous (femmes et hommes).
J’ai aussi compris le pouvoir de celles et ceux qui ont les moyens (au sens large) d’influencer et ou concevoir et ou de voter les règles juridiques (monnaie, travail, propriété, contrats, etc.).
Pour ma sécurité financière et renforcer mes compétences, je préfère changer régulièrement de fonctions et d’employeurs.
Ma santé (prévention, mode de vie) est primordiale.
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