« Si nous avons le choix, pourquoi prendre le chemin le plus risqué ? »
Le nucléaire : dépendance, déchets et accidents inévitables
« Le nucléaire n’est pas appelé à jouer un grand rôle dans le mix électrique de demain » (Antoine de Ravignan, 31/03/22) :
« La meilleure énergie, c’est celle qu’on n’a pas besoin de consommer ».
« Les risques associés à un accident de réacteur nucléaire ou à la dissémination de déchets me paraissent plus élevés que pour un accident avec une éolienne ou des panneaux photovoltaïques ».
« notre bilan carbone n’est pas lié qu’aux émissions de notre territoire mais aussi aux émissions importées ».
« les accidents nucléaires graves sont par nature « inévitables » ».
L’indépendance énergétique ?
« l’uranium naturel dont la France a besoin pour fabriquer le combustible de son parc de réacteurs est importé du Niger, du Canada, d’Australie ou encore du Kazakhstan ».
Les éoliennes et panneaux photovoltaïques sont constitués avec et à 100% de matières premières (ou ressources) naturelles.
La rénovation énergétique des bâtiments implique des matériaux de construction eux aussi 100% naturels.
La France est pauvre en cuivre, fer, aluminium, pétrole, zinc, etc.
La sobriété est une science naturelle
RTE (Futurs énergétiques 2050) préconise de réduire fortement nos consommations énergétiques de -40% d’ici à 2050.
Les forêts, océans, terres fertiles, métaux, minéraux, biodiversité, climat, etc. présents sur le territoire français s(er)ont-ils suffisants et durables pour les consommations de 68 millions de français-e-s + descendance ?
Les déchets nucléaires sont gérés par quelle(s) économie(s) circulaire(s) actuellement ?
Sommes-nous prêt-e-s à supporter un accident nucléaire inévitable près de chez soi ?
Notre descendance apprécie(ra)-t-elle notre parenté ?
Comment éviter les conflits d’usage ?
Pouvons-nous continuer à fabriquer des biens, produits et services chacun-e de notre côté, au sein de nos entreprises respectives, sans débattre de la gestion durable des bioressources locales (communes, départements, régions, France, etc.) ?
L’inflation est éco-logique :
- La cherté monétaire des biens, produits et services augmente avec la raréfaction des ressources naturelles et la croissance de la demande (nombre d’habitants, modes de vie).
Choisir ou pas le nucléaire pour agir concrètement
Les citoyen-ne-s doivent être impliqué-e-s dans les débats et choix énergétiques.
Sans implication directe des citoyen-ne-s :
- Comment prendre conscience de nos dépendances et interdépendances ?
- Comment agir concrètement et massivement pour préserver nos santé et vie ?
La monnaie dettes (euro, dollar, franc suisse, etc.) est écritures comptables illimitées remboursables.
Vous et votre entourage, avez-vous compris que, face aux risques nucléaires, la monnaie dettes est une unité de compte abstraite ?
Le nucléaire se compte en uranium naturel
Monnaie Dettes publie des connaissances synthétiques pour que vous puissiez les partager et en débattre avec votre entourage.
Sans vous, nous ne serons ensemble jamais suffisamment nombreuses et nombreux pour mener les actions opérationnelles vitales urgentes.
Sans argent et en peu de temps, vous pouvez réussir à condition de convaincre votre entourage d’agir, lui aussi, et avec vous + les autres.
Communiquez, débattez, agissez avec votre entourage relationnel et restons en contact !